photo FB
Marc Fesneau, le ministre de l’Agriculture, sera dans les Vosges, ce lundi 15 avril. Le ministre se rendra au campus agricole et forestier de Mirecourt. Le ministre annoncera, dans un site reconnu pour ses bonnes pratiques en termes d’usage des antibiotiques, le premier appel à projets du plan Ecoantibio 3 lancé en novembre 2023.
L’antibiorésistance est l’une des principales menaces mondiales selon l’OMS, cause plus de 5 000 décès par an en France et pourrait entraîner jusqu’à 238 000 décès dans le pays d’ici 2050.
Selon l’OCDE, les infections résistantes aux antibiotiques pourraient causer 2,4 millions de décès entre 2015 et 2050. Le groupe de direction mondial sur la résistance aux antimicrobiens estime dans un rapport publié le 4 avril qu’en l’absence de réponse appropriée, l’antibiorésistance pourrait réduire l’espérance de vie moyenne de 2 ans d’ici 2035, avec des coûts annuels de soins supplémentaires de 412 Mds et des pertes de productivité de 443 Mds.
Dans un second temps, sur un site pédagogique du campus, le ministre annoncera le plan national d’actions « bois de crise » pour faire face aux attaques de scolytes successives qui ont déclenché des mortalités massives d’épicéas et de sapins depuis 2017 qui élèvent le volume de bois de crise à 37 millions de m3.
Au cours de son déplacement le ministre tiendra une réunion de travail avec les organisations professionnelles agricoles afin d’évoquer les enjeux agricoles du département.
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Marc Fesneau, le ministre de l’Agriculture, sera dans les Vosges, ce lundi 15 avril. Le ministre se rendra au campus agricole et forestier de Mirecourt. Le ministre annoncera, dans un site reconnu pour ses bonnes pratiques en termes d’usage des antibiotiques, le premier appel à projets du plan Ecoantibio 3 lancé en novembre 2023.
L’antibiorésistance est l’une des principales menaces mondiales selon l’OMS, cause plus de 5 000 décès par an en France et pourrait entraîner jusqu’à 238 000 décès dans le pays d’ici 2050.
Selon l’OCDE, les infections résistantes aux antibiotiques pourraient causer 2,4 millions de décès entre 2015 et 2050. Le groupe de direction mondial sur la résistance aux antimicrobiens estime dans un rapport publié le 4 avril qu’en l’absence de réponse appropriée, l’antibiorésistance pourrait réduire l’espérance de vie moyenne de 2 ans d’ici 2035, avec des coûts annuels de soins supplémentaires de 412 Mds et des pertes de productivité de 443 Mds.
Dans un second temps, sur un site pédagogique du campus, le ministre annoncera le plan national d’actions « bois de crise » pour faire face aux attaques de scolytes successives qui ont déclenché des mortalités massives d’épicéas et de sapins depuis 2017 qui élèvent le volume de bois de crise à 37 millions de m3.
Au cours de son déplacement le ministre tiendra une réunion de travail avec les organisations professionnelles agricoles afin d’évoquer les enjeux agricoles du département.
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